Tous ceux qui connaissent cette aventure s’accordent \u00e0 dire qu’il est n\u00e9cessaire de d\u00e9finir d\u00e8s le d\u00e9part une sorte de \u00a0\u00bb charte \u00a0\u00bb de fonctionnement<\/b>. Souvent se dessine un partage clair des t\u00e2ches, auquel il est possible de d\u00e9roger dans certains contextes, comme une surcharge exceptionnelle pour l’un des deux \u00e9poux. D’ailleurs les deux acteurs sont compl\u00e9mentaires, c’est bien l\u00e0 l’int\u00e9r\u00eat de l’affaire<\/b>. L’un est \u00e0 la vente, l’autre \u00e0 la gestion ; l’un est \u00e0 la production, l’autre au commercial… <\/p>\n N\u00e9anmoins si les r\u00f4les s’\u00e9quilibrent dans l’activit\u00e9, les femmes resteraient encore trop souvent en retrait au regard des prises de d\u00e9cision. Certains pensent que\u00a0l’\u00e9quilibre du couple, n\u00e9cessite que l’on soit deux \u00e0 faire les choix. Mais d’autres pensent qu’il faut un seul patron, ou une seule patronne dans l’entreprise quitte \u00e0 inverser les r\u00f4les \u00e0 la maison.\u00a0Lorsqu’une d\u00e9cision s’impose, c’est toujours l’entreprise qu’il faut privil\u00e9gier et il est bon de s\u00e9parer l’affectif de la gestion rationnelle.<\/b>
<\/span><\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n