Cas N\u00b0 1)\u00a0<\/b>Il n’y a pas de ressources pour le franchiseur pour financer le service qu’il doit au franchis\u00e9 pour les aider \u00e0 d\u00e9marrer dans de bonnes conditions, donc le risque d’\u00e9chec est plus important. <\/p>\nCas N\u00b0 2)<\/b>\u00a0Il y a un deuxi\u00e8me cas de figure : le franchiseur augmente le prix de ses produits (marge ou commission)\u00a0de mani\u00e8re \u00e0 financer les services qui ont \u00e9t\u00e9 \u00e9voqu\u00e9s pr\u00e9c\u00e9demment. <\/p>\n
Il y a des march\u00e9s o\u00f9 il n’y a pas de droits d’entr\u00e9e<\/b>, dans le textile par exemple, mais il est vrai que le prix de l’assistance que le franchiseur apporte \u00e0 ses franchis\u00e9s est inclus dans le prix des produits. Est-ce une bonne chose ? C’est en tout cas une habitude dans le textile, dans beaucoup de marques de couvrir les frais d’assistance du r\u00e9seau \u00e0 travers les prix des produits mais il faut se rendre compte que cela provoque une certaine inflation, une augmentation des co\u00fbts. Par contre, cela n’arrive jamais dans des concepts de prestation de services o\u00f9 il est n\u00e9cessaire d’avoir un droit d’entr\u00e9e<\/b> car il n’y a pas de produits fournis dont pas de possibilit\u00e9 de se financer pour aider les franchis\u00e9s au d\u00e9marrage de leur entreprise.<\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n