On constate que dans 35 % des cas, le client qui r\u00e9clame continue\u00a0\u00e0 acheter la marque, alors que 9% seulement sont fid\u00e9lis\u00e9s lorsque le m\u00e9contentement n’a pu s’exprimer. <\/span><\/p>\nIl existe diff\u00e9rents types de r\u00e2leurs<\/strong> <\/strong><\/em>: vous en trouverez qui exploitent les combines pour essayer de r\u00e9cup\u00e9rer des avantages suppl\u00e9mentaires, mais vous verrez aussi des clients m\u00e9contents tr\u00e8s avertis des l\u00e9gislations en vigueur et veillant simplement \u00e0 ce que leurs droits soient respect\u00e9s. Surtout \u00e9vitez de laisser ces situations s’envenimer et d’avoir un comportement vexatoire. Reconnaissez vos torts et r\u00e9glez le pr\u00e9judice d\u00e8s que possible. <\/span>On peut penser que les enseignes ont les clients m\u00e9contents qu’elles m\u00e9ritent. Au moment de l’achat le client est respect\u00e9, conseill\u00e9, servi rapidement, mais lorsqu’il fait une r\u00e9clamation il doit trop souvent se justifier et attendre comme s’il avait trahi. L’important est que l’employ\u00e9 qui le re\u00e7oit ne se sente pas agress\u00e9 personnellement et qu’il essaye d’abord de se mettre \u00e0 la place du client.<\/span> <\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n