Comment avez-vous d\u00e9couvert la franchise \u00e0 une \u00e9poque o\u00f9 la formule \u00e9tait encore peu connue ? <\/b>
En 1973, mon premier poste fut celui de chef du rayon textile d’une grande surface. Un premier contact sur le terrain avec l’univers du commerce. En 1975, je suis entr\u00e9 \u00e0 la Laini\u00e8re de Roubaix. Une entreprise qui figure parmi les pionniers de la franchise. Ma t\u00e2che a consist\u00e9 pour une part \u00e0 d\u00e9velopper des secteurs g\u00e9ographiques moins performants. En 1981, ma fonction a chang\u00e9 : je suis pass\u00e9 \u00e0 l’export puis j’ai \u00e9t\u00e9 charg\u00e9 de la cr\u00e9ation de la filiale Scandinave. Je me suis retrouv\u00e9, bas\u00e9 \u00e0 Stockholm, pour diriger les pays nordiques.<\/p>\nEt c’est pourtant \u00e0 ce moment l\u00e0 que vous avez d\u00e9cid\u00e9 de quitter ce grand groupe pour cr\u00e9er votre cabinet <\/b>
En effet, j’ai donn\u00e9 ma d\u00e9mission, d’une part parce que j’avais envie de g\u00e9rer ma propre affaire, d’autre part parce que j’estimais que le march\u00e9 \u00e9tait mal orient\u00e9. La Laini\u00e8re a \u00e9t\u00e9 mon premier client. L’entreprise se posait des questions sur de nouveaux concepts et sur leur positionnement. <\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n<\/p><\/div>\n