Pour avoir accès à un domaine qu’on apprécie mais dans lequel on est pas nécessairement expérimenté, La Franchise peut être une bonne alternative.
De plus, elle nous permet de réitérer un concept étudié et rodé et non pas de commencer à partir de zéro.
Voici trois témoignages de personnes qui ont réussi leurs reconversions professionnelles après la quarantaine.
Témoignage d’une franchisée Dietplus, reconvertie à l’âge de 48 ans
Marie-Line Ségui est loin d’avoir toujours travaillé dans le domaine de la diététique. Elle a à son actif 20 ans de carrière, principalement dans l’industrie où elle avait pour mission de gérer un portefeuille de clients et a également occupé le poste d’assistante de direction dans les secteurs du BTP et de l’ingénierie.
Avec Dietplus, elle a pu se reconvertir à l’âge de 48 ans pour devenir coach minceur et travailler dans un domaine qui l’intéresse depuis toujours: « Quand j’avais 8 ans, mon médecin généraliste m’avait diagnostiqué un début d’obésité. Depuis, j’ai toujours fait attention à mon alimentation. Du fait de ce vécu, la minceur est devenue à mes yeux un créneau intéressant pour ma reconversion« .
Après avoir étudié plusieurs enseignes, son choix s’est finalement porté sur Dietplus pour les « nombreux avantages » qu’elle présente, notamment les produits 100 % naturels et fabriqués en France, ainsi que l’aspect « coaching » de l’activité. Elle souligne aussi: « De plus, tous les franchisés Dietplus que j’ai contactés m’ont dit qu’ils étaient très bien accompagnés« .
En savoir plus sur la franchise Dietplus.
De secrétaire médicale à franchisée Age d’Or Services
Elle témoigne: « Après avoir obtenu le BAC SMS à l’époque en 1994, j’ai travaillé 20 ans comme secrétaire médicale au sein d’un service d’imagerie médicale au Centre Hospitalier de Chauny. Ayant fait le tour de ce que je pouvais faire dans mon travail, je commençais à m’ennuyer et j’avais envie de découvrir de nouvelles choses.
Nous avons ouvert l’agence AOS de Chauny le 25 Avril 2016 avec deux associés. J’avais envie de changer de voie, de contribuer au maintien à domicile des personnes âgées, d’aider les plus fragiles.
Mes associés, eux, ont un magasin de matériel médical et d’orthopédie et ressentaient quotidiennement la demande de leur clientèle sur l’aide à la personne. L’idée a germé et nous avons décidé de nous associer pour ouvrir notre agence Age d’Or Services.Le réseau nous a séduit par les services proposés (formation, écoute, aide à l’installation, animateurs réseau à l’écoute et régulièrement présent à nos côtés…). La franchise a été pour nous un bon moyen de se lancer dans l’aventure en étant accompagnés et soutenus. Aujourd’hui, avec quelques mois de recul, on constate que l’activité prend son envol petit à petit. Nous avons de bons retours de la part de nos clients sur la qualité de nos services, ce que nous apprécions grandement !« .
En savoir plus sur la franchise Âge d’Or Services.
Franco Kabuela Kaya devient franchisé Age d’Or Services à l’âge de 52 ans
Il explique: « Mes différentes missions aux côtés de la Croix Rouge Internationale m’ont permis de côtoyer et d’accompagner les plus fragiles (personnes âgées ou en situation de handicap, enfants, femmes isolées, etc.). A 52 ans, j’ai donc pris la décision de m’installer à mon propre compte et de m’orienter vers l’aide à la personne.
Néophyte dans ce secteur, je me suis associé avec un ami d’enfance qui travaille dans le secteur médical en tant qu’aide-soignant et nous avons débuté nos recherches sur le net.
Après avoir consulté plusieurs sites, notre choix s’est finalement orienté vers le réseau Age d’Or Services, notamment pour l’offre de services qu’il proposait aux clients. Celle-ci correspondait à l’idée que nous nous faisions du service à la personne : une offre globale, tant du côté de nos clients que de l’assistance pour les franchisés.Après une formation d’un mois et un stage d’immersion dans une agence déjà ouverte, j’ai découvert les rouages de ce secteur. Malgré quelques difficultés au démarrage (création d’entreprise, dossier financier, demande de financement…), je suis aujourd’hui parvenu à me faire une place sur ma zone d’exclusivité. J’ai retrouvé le goût du contact avec les différents bénéficiaires, la satisfaction d’être utile et d’œuvrer pour des personnes qui en ont besoin« .