Dans un projet d’entreprenariat, on peut se demander si l’on souhaite le faire en s’adossant au savoir-faire d’une franchise ou en reprenant une entreprise déjà existante. Quels sont les points à prendre en compte pour choisir entre franchise ou reprise?
Solution de la franchise
Choisir la franchise permet de bénéficier de l’accompagnement de son franchiseur tout en restant indépendant. Grâce au savoir-faire et à la notoriété de l’enseigne, on peut démarrer et se développer plus rapidement et sûrement.
Une franchise nécessite bien entendu un apport financier puisqu’on aura à assumer un droit d’entrée au réseau, des frais d’aménagement du local pour concorder avec le concept magasin de l’enseigne, un stock de démarrage et un besoin de fonds de roulement.
Avant de se lancer en franchise, le candidat doit contacter plusieurs franchiseurs, tout vérifier, prendre le temps. Il doit aussi prendre l’initiative de rencontrer des franchisés du réseau, nouveaux et anciens.
Une franchise nécessite bien entendu un apport financier puisqu’on aura à assumer un droit d’entrée au réseau, des frais d’aménagement du local pour concorder avec le concept magasin de l’enseigne, un stock de démarrage et un besoin de fonds de roulement.
Avant de se lancer en franchise, le candidat doit contacter plusieurs franchiseurs, tout vérifier, prendre le temps. Il doit aussi prendre l’initiative de rencontrer des franchisés du réseau, nouveaux et anciens.
Solution de la reprise
Il s’agit soit d’acheter un fonds de commerce qui permet de devenir propriétaire d’une clientèle, du matériel et du stock de l’entreprise, soit par le rachat de la société. Ce deuxième type de reprise permet l’achat de l’ensemble de l’entreprise (l’actif et le passif) y compris les créances, les dettes. On gagne, dans les deux cas, un Chiffre d’affaires dès le démarrage par l’achat d’une clientèle déjà existante.
Il faut faire une analyse préalable :
- Vérification de la rentabilité
- Analyse des différents contrats liant la société et des conséquences de la reprise
- Etude des contrats de travail et anticipation des coûts en cas de licenciement ou de départ à la retraite par exemple
Il faudra également faire une évaluation de l’entreprise afin de déterminer sa valeur et donc son prix de vente et aussi prendre en considération les nouvelles charges qui seront créées tel que le remboursement d’un emprunt qui peut faire baisser la rentabilité de l’entreprise.
Mais surtout, il faut se demander ce qui restera du savoir-faire et de la relation clientèle quand le cédant sera parti et donc il faut négocier les conditions de formation et d’accompagnement.