J’ai un très bon emplacement dans le centre-ville, qui tourne, dynamique… Donc, il faut que je trouve le produit qui va cartonner, un endroit où les gens vont rentrer sans complexes, et qui va nous permettre de gagner de l’argent.
J’ai vu deux enseignes de téléphonie, une enseigne d’institut de beauté… Le but du jeu pour moi, c’est de mettre des gens en place, de ne pas y travailler et de devenir gestionnaire. »
Belgacem Karim : « La franchise m’intéresse car il y a un concept, un savoir faire, et une force de frappe derrière soi. Les consommateurs voient un secteur qui tourne, une image, un concept et ils rentrent plus facilement que chez un indépendant, la franchise, je pense, est plus ou moins l’avenir !
Les craintes c’est de ne plus être libre, avoir les mains liées et une fois que nous avons signé le contrat de franchise, nous avons pieds et mains liés, ne pas pouvoir en sortir quand nous le voulons et de perdre beaucoup d’argent. »