La coiffure reste aujourd’hui un bastion tenu par les indépendants. Sur les 66 000 salons recensés 10% seulement sont des franchisés. Le marché est dynamique, les ouvertures en constante progression depuis plusieurs années et le marché est loin d’avoir atteint le seuil de saturation. Des régions comme le Sud ouest sont sous représentées par exemple et peuvent offrir des opportunités pour les réseaux de franchise.
Pourtant le secteur de la coiffure se franchise difficilement car le métier plutôt classé artisanal ne colle pas trop avec l’esprit réseau. L’indépendance est une notion ancrée dans la culture de la coiffure en général et même les jeunes coiffeurs ne voient pas l’intérêt de rentrer dans un réseau. Il faut donc de la part des têtes de franchise coiffure des arguments convaincants pour rallier ces artisans qui privilégient la créativité personnelle et les rapports très conviviaux avec leur clientèle
Les pistes pour les franchises coiffure
Rechercher plutôt des managers, gestionnaires et commerciaux qui sauront s’entourer d’une équipe technique et délaisseront la coupe et la coloration pour animer leur point de vente ou des professionnels qui ont besoin de nouveautés et envie d’évoluer.
La franchise a alors des chances d’être reconnue comme un modèle économique performant et valorisant. Si quelques grands groupes se partagent aujourd’hui le marché de la coiffure en franchise, le gâteau est suffisamment grand à partager. C’est l’émergence des enseignes low coast, luxe, spécial cheveux afro Ils ont tous trouvé une place libre à côté des indépendants qui proposent tous un service classique.
Rechercher plutôt des managers, gestionnaires et commerciaux qui sauront s’entourer d’une équipe technique et délaisseront la coupe et la coloration pour animer leur point de vente ou des professionnels qui ont besoin de nouveautés et envie d’évoluer.
La franchise a alors des chances d’être reconnue comme un modèle économique performant et valorisant. Si quelques grands groupes se partagent aujourd’hui le marché de la coiffure en franchise, le gâteau est suffisamment grand à partager. C’est l’émergence des enseignes low coast, luxe, spécial cheveux afro Ils ont tous trouvé une place libre à côté des indépendants qui proposent tous un service classique.
Les enseignes en franchise doivent offrir un concept innovant et pertinent qui répond bien aux besoins des futurs franchisés et de leur clientèle. S’il est assez facile de convaincre un investisseur car les chiffres lui parlent, il est plus difficile de rallier un coiffeur indépendant qui a une conception classique du salon de coiffure. D’où la nécessité d’une formation de commerciaux bien adaptée à cette cible. Elle sera plus sensible à l’assistance, la formation car il ne faut pas oublier que le métier de base est la coiffure.
Capter la nouvelle génération de coiffeur
Celle-ci est déjà mieux formée à affronter l’aspect financier et les dossiers de candidature auprès des banques sont là pour le montrer. Moins artiste coiffeur que leurs ainés, plus artisan entrepreneur, ils ont compris qu’il leur fallait gérer et coiffer en même temps. Souvent entrés dans la vie active très jeune après un CAP, les jeunes coiffeurs se lancent vite dans le business (entre 25 et 30 ans) alors que leurs congénères qui ont opté pour les études supérieures n’ont pas encore achevé leur cursus.
Celle-ci est déjà mieux formée à affronter l’aspect financier et les dossiers de candidature auprès des banques sont là pour le montrer. Moins artiste coiffeur que leurs ainés, plus artisan entrepreneur, ils ont compris qu’il leur fallait gérer et coiffer en même temps. Souvent entrés dans la vie active très jeune après un CAP, les jeunes coiffeurs se lancent vite dans le business (entre 25 et 30 ans) alors que leurs congénères qui ont opté pour les études supérieures n’ont pas encore achevé leur cursus.
Les chaines de franchise coiffure ont devant elles un marché d’avenir, il leur reste à s’adapter et trouver les formules qui sauront séduire les Figaros du futur !