L’équation est simple : pétrole cher = transport cher = coût de logistique en hausse. Comment résoudre cette équation pour ne pas répercuter l’augmentation sur le prix de vente final du produit? C’est ce à quoi sont confrontés aujourd’hui les distributeurs qui doivent absorber en 2008 une hausse de 10% sur le poste transport qui représente à lui seul la moitié des dépenses en logistique.
Le mot magique est OPTIMISATION dans tous les domaines. Des solutions sont d’ores et déjà en application, d’autres sont en cours d’étude.
Le mot magique est OPTIMISATION dans tous les domaines. Des solutions sont d’ores et déjà en application, d’autres sont en cours d’étude.
1 – Optimiser les volumes transportés dans les camions. Cela passe par une homogénéisation de la taille des palettes et un meilleur ordonnancement des camions qui devront désormais rouler à plein
2 – Faire des livraisons de produits différents quitte à en différer certaines et en avancer d’autres
3 – Utiliser des logiciels de transport comme TMS qui est un outil d’aide à la gestion des tournées
4 – Éviter les retours à vide et sous-traiter le transport à des entreprises des alentours à des prix compétitifs.
5 – Pouvoir livrer 24h/24 et créer des zones dans les magasins où les transporteurs pourraient déposer les marchandises à toute heure du jour et de la nuit (sans présence des salariés)
6 – Diminuer le nombre de livraisons ce qui demande aux responsables des magasins d’être plus prévoyants (fini, le flux tendu !).
2 – Faire des livraisons de produits différents quitte à en différer certaines et en avancer d’autres
3 – Utiliser des logiciels de transport comme TMS qui est un outil d’aide à la gestion des tournées
4 – Éviter les retours à vide et sous-traiter le transport à des entreprises des alentours à des prix compétitifs.
5 – Pouvoir livrer 24h/24 et créer des zones dans les magasins où les transporteurs pourraient déposer les marchandises à toute heure du jour et de la nuit (sans présence des salariés)
6 – Diminuer le nombre de livraisons ce qui demande aux responsables des magasins d’être plus prévoyants (fini, le flux tendu !).
Le transport routier représente 80% des marchandises acheminées dans les points de vente. Une réflexion est menée sur les autres moyens de transport que sont le train ou les voies fluviales mais ces derniers manquent terriblement de souplesse et sont peu adaptés aux besoins. Rapprocher les entrepôts des magasins fait aussi partie des pistes d’amélioration à plus long terme.
Quant aux principaux intéressés qui sont les responsables des points de vente, ils devront redéfinir leurs besoins avec un paramètre supplémentaire.
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