Beaucoup reste à faire et pas uniquement dans le secteur social. Les affaires aussi ont leur place.
Avec l’allongement de la vie, les retraités sont plus nombreux et leur niveau de vie progresse de même que l’étendue de leurs besoins et leur dépendance aussi parfois.
Ils seraient près de 800 000 à avoir besoin d’une aide à domicile sans compter leurs besoins en services occasionnels comme l’entretien du domicile, le jardinage, les courses, la coiffure à domicile, les livraisons de repas chauds….
Bien étuduer la rentabilité de votre projet
1) Comment se faire connaître et commercialiser sachant que les promesses orales de débouchés faites par les administrations et les mairies ne peuvent suffire lorsqu’elles existent ?
2) Le prix de vente qui sera accepté sera-t’il rentable ?
3) Le service que vous rendrez est-il aussi presté par des associations dites « à but non lucratif » en sus des concurrents privés et ces associations sont-elles compétitives ?
4) Le service que vous rendrez est-il soumis à une réglementation précise ou faut-il disposer d’un agrément administratif pour bénéficier d’un accès facilité à certains clients ou d’un droit à TVA réduite ou exonérée ? »
Pour aller plus loin dans l’étude de votre projet, plusieurs moyens :
b) les études et dossiers disponibles en CCI ou à l’INSEE.
c) une observation attentive (reporter les éléments sur un grand tableau) des intervenants que vous observerez sur ce genre de services.
Attention cependant car certains réseaux ne survivront pas bien que leur secteur soit porteur. Parmi les franchiseurs qui ont déposé le bilan citons Obug (dépannage informatique) et Capvie (Services à la personne). Certains nouveaux franchiseurs n’ont pas les moyens financiers de leur croissance, d’autres sont sous-structurés et n’apportent pas les services nécessaires aux franchisés. Bref, dans ce secteur ne confondons pas optimisme et euphorie.
Pour en savoir plus sur le secteur, regardez nos vidéos sur les réseau de franchise de service à la personne