Avec 9000 enseignes de franchise, l’Europe est championne du monde sur ce secteur. Elle compte à elle seule autant d’enseignes que l’ensemble des principaux marchés économiques mondiaux (Etats-Unis : 3000 réseaux, Chine : 2600, .Canada : 1200).
Selon Carol Chopra de la Fédération européenne de la franchise, l’optimisme règne dans le monde de la franchise européenne avec des réseaux connus, stables et bien établis qui, malgré la crise, ont continué à faire des affaires malgré quelques ralentissements.
Cette crise n’a en effet pas affecté les secteurs d’activité et les pays de la même de la même façon. Petit tour d’horizon :
– l’immobilier, dans tous les pays, et principalement en Espagne et en Croatie (pays à forte croissance dans ce domaine au cours de ses 6-7 dernières années), a particulièrement souffert,
– les services aux entreprises ont chuté, les entreprises ayant cherché à réduire leurs coûts,
– du côté des services en général, beaucoup de disparités : baisse de la coiffure, bon maintien des services à la personne (personnes âgées, enfants),
– le secteur du commerce de biens a réduit son activité depuis l’été 2008 car les consommateurs diminuent leurs dépenses ou préfèrent épargner,
– les enseignes de restauration bon marché ont su se démarquer,
– dans la distribution alimentaire, les hyper et supermarchés ont perdu des clients au profil des petites surfaces alimentaires de proximité ;
– les hôtels les plus chers ont perdu des clients alors que les enseignes plus abordables ont su tirer leur épingle du jeu.
– l’immobilier, dans tous les pays, et principalement en Espagne et en Croatie (pays à forte croissance dans ce domaine au cours de ses 6-7 dernières années), a particulièrement souffert,
– les services aux entreprises ont chuté, les entreprises ayant cherché à réduire leurs coûts,
– du côté des services en général, beaucoup de disparités : baisse de la coiffure, bon maintien des services à la personne (personnes âgées, enfants),
– le secteur du commerce de biens a réduit son activité depuis l’été 2008 car les consommateurs diminuent leurs dépenses ou préfèrent épargner,
– les enseignes de restauration bon marché ont su se démarquer,
– dans la distribution alimentaire, les hyper et supermarchés ont perdu des clients au profil des petites surfaces alimentaires de proximité ;
– les hôtels les plus chers ont perdu des clients alors que les enseignes plus abordables ont su tirer leur épingle du jeu.
Vu dans Rezo n° 57