Des Ateliers, pour tout savoir à propos des Franchises et des Enseignes, outils indispensables pour une jeune génération d’Entrepreneurs saoudiens. Cette exposition mettra en évidence les différentes enseignes, licences, ditributeurs automatiques et surtout comment ces concepts vont s’adapter et se développer sur le marché saoudien porteur, en pleine expansion.
Le précédent salon des Franchises (ICEF 2008 et 2009) a attiré plus de 3000 visiteurs en 2009 : 43% étaient propriétaires et chef d’entreprise et 24% des franchiseurs et franchisés. (Note : ICEF et Webrand sont deux choses différentes avec des organisateurs différents)
Des études ont montré que les consommateurs en Arabie Saoudite préfèrent acheter des marques étrangères. Une campagne publicitaire sera réalisée avant, pendant et après cette manifestation. Presse, télévision et radio. De plus des débats et conférences seront données dans les
Trois centres cosmopolites de conférences d’Arabie Saoudite. Mailing, fax, sms et dépliants seront envoyés à cet effet.
Trois centres cosmopolites de conférences d’Arabie Saoudite. Mailing, fax, sms et dépliants seront envoyés à cet effet.
Plus de 10 000 guides seront imprimés et distribués aux visiteurs de cette expo et tous les membres des sociétés internationales seront avertis par mail.
WE BRANDS est la meilleure façon de toucher les entrepreneurs saoudiens et ceux des pays du Golf, faire connaître son enseigne sur le marché du Moyen Orient.
Communiqué envoyé par Aicha aicha@webrands.net
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Communiqué : POURQUOI EXPOSER EN ARABIE SAOUDITE ?
Contrairement à ce que l’on écrit ici ou là et en dépit des problèmes qui sont les siens, le Moyen-Orient est une zone qui attire et continuera probablement d’attirer un montant appréciable d’investissements directs. D’après les chiffres publiés par la Conférence des Nations Unies sur le Commerce Et le Développement (CNUCED), le stock d’investissements directs au Moyen-Orient atteignait près de 46 milliards de dollars US à la fin de l’année 2004, soit 2% des investissements réalisés en dehors de l’OCDE. Quant aux flux d’investissement direct, ils ont représenté 5 milliards de dollars US pour la seule année 2004, ce qui n’est pas négligeable.
La France n’est pas restée à l’écart de ce mouvement. D’après les chiffres de la Banque de France, le stock d’investissements français au Moyen-Orient a sensiblement augmenté depuis la fin des années 1990, passant de 675 millions d’euros à la fin de l’année 1997 à 2,4 milliards d’euros fin 2003. la présence de nos entreprises est particulièrement marquées aux Emirats Arabes Unis, en Arabie Saoudite et au Qatar.
Le dynamisme qui prévaut depuis le début des années 2000 s’est traduit par la conjonction d’une croissance soutenue, d’une augmentation notable des investissements (qu’ils soient publics ou privés) et d’une amélioration spectaculaire des comptes publics et des comptes extérieurs, les uns et les autres dégageant des excédents qui peuvent être considérés comme significatifs.
En outre, les six pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) (Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Koweït, Oman et Qatar) se sont engagés dans un processus d’intégration régionale qui s’est déjà traduit par la mise en place d’une union douanière et qui doit déboucher à l’horizon 2010 sur l’union monétaire.
Cet ensemble compte désormais plus de 36 millions d’habitants et son PIB approche les 600 milliards de dollars US. Le montant de ses importations est passé de 72 milliards de dollars US à la fin des années 1990 à 143 milliards en 2005. Il est aujourd’hui supérieur à celui des importations du Mercosur.
Dans le même temps, l’ensemble des pays de la région a procédé à l’adaptation et à l’assouplissement progressifs des législations applicables à l’investissement direct, les mesures prises et susceptibles de l’être en la matière ayant vocation à donner à un non-résident la possibilité de contrôler plus de 50% du capital d’une entreprise locale, d’accéder, sous certaines conditions, à la pleine propriété d’un bien immobilier et, à terme, d’intervenir directement sur les marchés financiers de la région.