Un exemple. De nombreux franchisés Green is better de première génération ont déposé le bilan. Nous en avons parlé sur ac-franchise.be et avons reçu des témoignages de leur part. Un membre de l’équipe AC Franchise connaît même personnellement un de ces franchisés malheureux. Il est souvent expliqué que les coûts de matière première sont plus élevés ce qui entraîne des prix de vente touchant surtout les classes aisées et des salariés branchés du tertiaire profitant aussi de tickets restaurants.
Mais quelle est la part du coût des matières premières dans ces soucis ?
Une partie des franchisés pense que c’est plutôt la légèreté du premier franchiseur (il a revendu depuis) qui est responsable. Il existe d’ailleurs une association des franchisés mécontents, coachée par un avocat habitué à regrouper les mécontents et une autre association de franchisés qui déclarent leur satisfaction et qui, elle, vise à ne pas pénaliser la réussite des franchisés qui ont choisi de poursuivre et ne veulent pas être handicapés par le bruit médiatique des réclamations mécontents.
A noter que ces concept trouvent plus facilement place près des bureaux et centres d’affaires des grandes métropoles françaises avec il est vrai une forte clientèle féminine.
Un développement en franchise précipité
Chacun comprendra que la réussite d’un restaurant rapide bio avenue Montaigne ou rue du Fbg St Honoré est une belle carte de visite mais qu’on ne duplique pas ailleurs en France, la même densité de mannequins, de vendeuse qui auraient pu être mannequins et de clients aisés.
Alors ne pas se développer ? Nous ne disons pas cela. Mais faire attention, multiplier les pilotes, prévoir des portes de sortie pour les franchisés si cela ne marche pas….