C’est la grande tendance du moment : les villes américaines s’engagent dans des plans d’accompagnement à la création de coopératives, elles y voient un moyen efficace de revitaliser le tissu économique local.
A l’image de Richmond, ville proche de San Francisco qui s’engage dans cette démarche, ce sont Cleveland (Ohio) et New York qui étudient la faisabilité de telles actions ; ou Amarillo (Texas), Atlanta (Georgie) ou Washington qui se lancent dans la réflexion et analysent de très près la manière de lancer des opérations d’accompagnement de sociétés commerciales à la gouvernance collective et démocratique.
A l’image de Richmond, ville proche de San Francisco qui s’engage dans cette démarche, ce sont Cleveland (Ohio) et New York qui étudient la faisabilité de telles actions ; ou Amarillo (Texas), Atlanta (Georgie) ou Washington qui se lancent dans la réflexion et analysent de très près la manière de lancer des opérations d’accompagnement de sociétés commerciales à la gouvernance collective et démocratique.
Sur le modèle de la coopérative Mondragon Corp au Pays Baque espagnol
A Richmond, c’est Gayle McLaughlin, le maire de la ville qui a lancé la tendance, certain que les coopératives étaient le moyen d’assurer le développement économique de sa ville de 103 000 habitants touchée très durement par la crise, avec un taux de chômage dépassant les 15 %. L’élue s’est inspirée du groupe Mondragon Corp qui regroupe 250 coopératives du Pays Basque espagnol (7e groupe industriel espagnol), emploie 83 000 salariés et affichait un chiffre d’affaires de près de quinze millions d’euros en 2010.
Petit à petit, des coopératives ont vu le jour sur des marchés tels que la pose de panneaux solaires la réparation de vélos ou les cafés ambulants… séduisant de nombreux entrepreneurs rassurés par un modèle économique leur permettant de mutualiser les risques.
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Audrey, rédactrice AC Franchise