- une enseigne qui attire la clientèle
- un concept qui marche et qui est rentable
- un savoir faire et toute l’expérience du réseau
- une assistance ….
Nous allons traiter brièvement ce sujet en trois points : ce que le franchisé en retire, ce que le franchiseur en retire et ce qu’il se passerait s’il n’y avait pas de droit d’entrée.
Pourquoi faut-il payer un droit d’entrée ?
Que ce passe-t-il lorsqu’il n’y a pas de droits d’entrée puisque cela arrive ?
Cas N° 2) Il y a un deuxième cas de figure : le franchiseur augmente le prix de ses produits (marge ou commission) de manière à financer les services qui ont été évoqués précédemment.
Il y a des marchés où il n’y a pas de droits d’entrée, dans le textile par exemple, mais il est vrai que le prix de l’assistance que le franchiseur apporte à ses franchisés est inclus dans le prix des produits. Est-ce une bonne chose ? C’est en tout cas une habitude dans le textile, dans beaucoup de marques de couvrir les frais d’assistance du réseau à travers les prix des produits mais il faut se rendre compte que cela provoque une certaine inflation, une augmentation des coûts. Par contre, cela n’arrive jamais dans des concepts de prestation de services où il est nécessaire d’avoir un droit d’entrée car il n’y a pas de produits fournis dont pas de possibilité de se financer pour aider les franchisés au démarrage de leur entreprise.