Point de vue du franchisé ou de l’adhérent :
Un développement au sein d’un réseau de franchise est une alternative plus sécurisante pour un porteur de projet, surtout si ce dernier se lance dans un nouveau métier. Bénéficier d’un savoir faire, d’un concept éprouvé, de l’assistance du franchiseur, de formations, de conseils… constitue un réel atout pour le jeune franchisé. Nicole – salariée dans le milieu hospitalier – souhaiterait se lancer à son compte en adhérant à une franchise dans le secteur de la beauté ou du bien-être.
Retrouvez cette interview vidéo de Nicole Salvet, future franchisée sur acfranchise.TV réalisée en 2012 et encore plus de vidéos interviews de futurs franchisés.
Nicole Salvet : » Je travaille dans le domaine de la rééducation en milieu hospitalier. J’ai une expérience salariale de plus de 20 ans, donc aujourd’hui, j’ai atteins un seuil de maturité et je souhaiterais être ma propre patronne et gérante d’une affaire.
Le secteur de la beauté m’intéresse, la parapharmacie, le bien être… J’ai déjà quelques idées, je pense que je connais déjà. Moi-même en qualité de cliente de certains magasins, je connais certaines enseignes.
J’ai l’impression que c’est plus sécurisant de s’installer dans le cadre d’une enseigne déjà connue, surtout pour une première expérience commerciale. Je sais que des formations sont possibles, nous pouvons toujours nous former et comme moi j’ai un esprit très ouvert, je suis prête à me former.
Puis, si nous sommes bien entourés d’associés ou de professionnels compétents, je ne me fais pas de soucis.
Je vais leur poser des questions sur le fonctionnement du magasin par exemple, si c’est un magasin, sur le chiffre d’affaires, sur les études de marché qui sont réalisées, sur leur approche au niveau de la clientèle…
Je vais leur poser des questions sur le fonctionnement du magasin par exemple, si c’est un magasin, sur le chiffre d’affaires, sur les études de marché qui sont réalisées, sur leur approche au niveau de la clientèle…
Je vais poser des questions axées sur l’aspect commercial bien que je ne sois pas formée spécialement dans le domaine du commerce, et puis je leur demanderais si la ville où je suis domiciliée correspondrait bien, en fonction de la population, des attentes de la clientèle, si ça va fonctionner dans ma ville, si l’enseigne correspond bien aux attentes… »