Description de l’activité :
Point de vue du franchisé ou de l’adhérent :
Laurent Monnet : J’ai travaillé pendant 12 ans dans le domaine para bancaire, où j’ai exercé différentes missions et fonctions très enrichissantes et formatrices. Mais au bout de 12 années, j’ai souhaité quitter ce grand groupe et ainsi être plus autonome et créer ma propre activité. J’ai alors raisonné en tant que créateur d’entreprise. De part mon expérience dans les services, je souhaitais exercer une activité qui corresponde à mon savoir-faire. Or, je considère l’immobilier comme étant une activité de services aussi bien pour le propriétaire que pour l’acquéreur, et le service ne s’arrête pas à la transaction puisqu’on aide aussi pour le financement, les diagnosticsOuvrir une agence immobilière m’a permis de limiter les risques contrairement à d’autres activités : en effet, il n’y a pas de stock, ni de charges fixes importantes Enfin, pourquoi j’ai choisi Solvimo ? J’ai réalisé une étude de marché et j’ai étudié d’autres réseaux de franchise car le choix n’était pas évident. Mais le premier élément qui a retenu mon attention a été le système de redevance fixe qui ne pénalise pas les franchisés qui font de gros chiffres d’affaires. En effet, quand j’ai fait ma recherche je me suis demandé quelle était la plus-value des autres réseaux qui me demandaientt plus cheret je n’ai pas perçu de différence.
ACF : Quelle est la principale difficulté que vous avez du surmonter pour créer votre affaire ?
LM : Le plus dur pour moi a été de me lancer. Avant j’étais salarié, donc j’ai eu l’impression de « sauter dans le vide » quand j’ai pris la décision d’ouvrir ma propre agence. C’est la découverte d’un nouvel univers, mais l’avantage de la franchise et donc d’adhérer à un réseau, c’est le fait d’être entouré, ce qui permet d’atténuer cette sensation et ainsi de se sentir moins seul. Une autre difficulté a été de choisir la ville d’implantation de l’agence et le local ; car il est fondamental d’être bien placé. Mais le franchiseur m’a aidé dans ces démarches que ce soit pour l’étude d’implantation, pour valider mon choix du local, ou pour négocier le bail.
ACF : Que vous a apporté l’appartenance au réseau Solvimo ?
LM : En premier lieu, je dirai l’accompagnement, car c’est fondamental. Un nouveau franchisé suit tout d’abord une formation théorique d’un mois et ensuite de 2 semaines de pratique au sein d’une agence en étant accompagné par un franchisé existant. Le réseau permet aussi de bénéficier d’aide pour la création d’entreprise (experts comptables par exemple). Par ailleurs, le fait d’adhérer au réseau permet de bénéficier de la structure d’animation : un animateur régional est présent pour l’ouverture de l’agence mais aussi régulièrement tout au long de l’année. Enfin, le réseau de franchise Solvimo se différencie de ses confrères grâce à ses outils marketing innovants. Par exemple, Solvimo a lancé un nouveau produit « Atout Vente » qui propose aux propriétaires une indemnité si le bien n’est pas vendu dans les 3 mois, en échange de l’exclusivité sur le bien.
ACF : Quelle évolution avez-vous connu depuis votre ouverture ?
LM : Malgré un marché pas très porteur, nous sommes à +28% par rapport à l’exercice antérieur. Mon activité sur Valence m’a donc permis d’ouvrir une deuxième agence en début d’année 2006 et cette agence connaît un meilleur démarrage que la première. Mon équipe est donc passée de 3 personnes à 10 personnes aujourd’hui sur les 2 agences.
ACF : Quel est le principal conseil que vous donneriez à quelqu’un qui veut devenir franchisé dans votre métier ?
LM : je pense qu’il faut surtout rencontrer les franchisés du réseau avant de se lancer, car il n’y a pas d’intérêt à ce qu’un franchisé vous mente, s’il ne croit pas en son réseau vous le sentirez. Il faut donc profiter de cette sincérité entre franchisé et futur franchisé pour faire son choix.