Selon le grand quotidien La Voix du Nord les cordonneries classiques ont pour images des ateliers en fouillis et des odeurs de colle forte plutôt que de cuir. Le journal relève donc que François Blondelle le premier franchiseur de Cordonnerie ne souhaite pas s’arrêter à ce cliché et affiche son expertise du cuir avec un concept plaisant et abouti.. L’article parle du premier franchisé de cordonnerie qui s’est lancé il y a un an.
Premier franchisé du réseau, Emmanuel Leriche
Emmanuel Leriche est le premier franchisé de l’enseigne Cordonnerie François Blondelle. Il a ouvert en 2015 son magasin dans la galerie de l’Intermarché de Cysoing. Le franchisé, qui partage les mêmes idées que son franchiseur, veut dépoussiérer les images reçues à propos de la cordonnerie et mettre en avant le savoir-faire, les objets de qualité et le bien-être du pied.
Emmanuel Leriche a travaillé durant 20 ans pour une filiale d’une grande enseigne de l’électroménager. Bien qu’il fut le directeur technique, chargé de développer la marque « maison », il décide de se reconvertir: « Tous mes proches me disaient « crée ton entreprise, tu as vraiment le profil! « , confie-t-il.
En découvrant l’offre de la Franchise du cuir, l’ancien ingénieur, au profil commercial, commence à apprendre toutes les techniques du métier de cordonnier aux côtés de François Blondelle.
Ils choisissent ensuite le mobilier, les couleurs (un décliné de teintes marron, noir et or) et sélectionnent rigoureusement les objets proposés à la vente. Dans le nouvel établissement, on trouve sur les étals du cirage à base de cire d’abeille, recommandé par les plus grands maroquiniers, des embauchoirs en cèdre rosé, le top pour absorber l’humidité des chaussures, des semelles préformées qu’on ne trouve pas en grandes surfaces, des produits d’entretien pour tous les cuirs… Quelques ceintures fabriquées exclusivement en Europe et des couteaux design pour « hipsters » sont également exposés.
Emmanuel Leriche a travaillé durant 20 ans pour une filiale d’une grande enseigne de l’électroménager. Bien qu’il fut le directeur technique, chargé de développer la marque « maison », il décide de se reconvertir: « Tous mes proches me disaient « crée ton entreprise, tu as vraiment le profil! « , confie-t-il.
En découvrant l’offre de la Franchise du cuir, l’ancien ingénieur, au profil commercial, commence à apprendre toutes les techniques du métier de cordonnier aux côtés de François Blondelle.
Ils choisissent ensuite le mobilier, les couleurs (un décliné de teintes marron, noir et or) et sélectionnent rigoureusement les objets proposés à la vente. Dans le nouvel établissement, on trouve sur les étals du cirage à base de cire d’abeille, recommandé par les plus grands maroquiniers, des embauchoirs en cèdre rosé, le top pour absorber l’humidité des chaussures, des semelles préformées qu’on ne trouve pas en grandes surfaces, des produits d’entretien pour tous les cuirs… Quelques ceintures fabriquées exclusivement en Europe et des couteaux design pour « hipsters » sont également exposés.
François Blondelle
La Maison Blondelle est issue d’une famille de spécialistes de la chaussure depuis des générations. François Blondelle avait commencé à exercer le métier à 19 ans et a ouvert sa première cordonnerie en 1990 à La Madeleine. En 1996, il achète un commerce à Marcq-en-Barœul. Il ouvre ensuite d’autres boutiques à Lille et Marquette.
François Blondelle s’est fixé pour objectif de développer son affaire en franchise et transmettre son savoir-faire du cuir.
François Blondelle s’est fixé pour objectif de développer son affaire en franchise et transmettre son savoir-faire du cuir.
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