Présente dans plusieurs pays notamment aux USA, au Canada et en France avec plus de 800 agences, la franchise Engel & Völkers est l’une des plus grandes entreprises de services au monde. Spécialisée dans les transactions de biens immobiliers résidentiels et commerciaux haut de gamme, de yachts et d’avions privés, Engel & Völkers publie chaque année son Rapport de Marché annuel.
Dans son dernier rapport, le réseau présente ses pronostics pour l’année 2019 dans chaque zone couverte par ses agences.
Des chiffres en hausse et Uccle en tête de liste des villes les plus chères !
Outre la hausse de 3 % du volume des constructions en Belgique, l’étude a également révélé une hausse importante du prix de l’immobilier tout comme le nombre de prêts hypothécaires, particulièrement en Wallonie, région qui accuse la plus forte augmentation des transactions. Par ailleurs, Uccle arrive en tête de liste des villes les plus chères, suivie de près par Knokke-Heist, Laethem Saint-Martin puis Kraainem, Wezembeek-Oppem et Schilde.
Le rapport a confirmé la préférence des acquéreurs pour les biens neufs plutôt que les biens nécessitant des travaux. Une tendance qui pourrait être expliquée par le coût élevé ainsi que la difficulté des rénovations mais aussi par le durcissement des normes gouvernementales du pays. Le choix des appartements plutôt que les grandes demeures reflète la préférence des belges pour le côté pratique et confortable.
Les pronostics généraux pour 2019
Engel & Völkers prévoit une augmentation des prix immobilisés dans chaque région belge malgré le ralentissement économique général. Par ailleurs, cette hausse des prix à venir devrait également encourager une tendance à l’épargne qui devrait être fructueuse, compte tenu du contexte d’évolution des prix qui serait un peu moins dynamique qu’en 2018.
Pour 2019, le réseau prévoit une augmentation des investissements dans le neuf pour éviter d’investir dans des travaux coûteux d’aménagement et de rénovation. Selon Engel & Völkers Belgique, le marché immobilier devrait accuser en 2019 une hausse réelle sans toutefois être fulgurante, les réformes politiques influant sur les tarifs et la quantité des transactions.