Les franchisés ont souvent investi une forte somme à titre personnel et fait appel à des financeurs extérieurs, il convient donc que leur avenir économique soit le mieux assuré possible, grâce au soutien du franchiseur. Celui-ci doit évidemment respecter les devoirs qui lui incombent. Passé l’enthousiasme du début, une fois la formation par la Centrale achevée et après quelques temps d’expérience commerciale, le franchisé peut vivre une période de déprime car il stresse devant les difficultés et voit le franchiseur de manière moins indulgente.
4 domaines de responsabilité du franchiseur
Le franchiseur a en fait quatre domaines de responsabilité qu’il doit assumer sans défaillir.
1) Il assure le recrutement des candidats à partir de la définition d’un profil convenable, jusqu’à la signature du contrat de franchise.
2) Sa deuxième responsabilité, est celle de l’intégration des candidats retenus grâce à la formation initiale puis à l’assistance pour l’ouverture du point de vente de l’enseigne.
3) Il doit continuer à suivre l’activité du franchisé, lui apporter tout le soutien nécessaire en fonction des termes du contrat de franchise signé dès le départ. Il doit veiller en permanence au respect du concept et du savoir-faire transmis.
4) Le quatrième devoir du franchiseur est lié à la fin de la collaboration entre les deux partenaires pour que le désengagement se réalise de la manière la plus juste possible.
1) Il assure le recrutement des candidats à partir de la définition d’un profil convenable, jusqu’à la signature du contrat de franchise.
2) Sa deuxième responsabilité, est celle de l’intégration des candidats retenus grâce à la formation initiale puis à l’assistance pour l’ouverture du point de vente de l’enseigne.
3) Il doit continuer à suivre l’activité du franchisé, lui apporter tout le soutien nécessaire en fonction des termes du contrat de franchise signé dès le départ. Il doit veiller en permanence au respect du concept et du savoir-faire transmis.
4) Le quatrième devoir du franchiseur est lié à la fin de la collaboration entre les deux partenaires pour que le désengagement se réalise de la manière la plus juste possible.
Difficultés rencontrées par les franchiseurs
Les principales difficultés rencontrées par le franchiseur sont souvent liées à une croissance déséquilibrée. En effet certains franchiseurs sont très performants au lancement de l’enseigne mais ensuite ils n’évoluent pas aussi vite et aussi bien que leurs franchisés.
La continuité exige que le franchiseur propose des outils comme le benchmarking entre franchisés du réseau. Bien plus qu’un outil de veille, le benchmarking permet de comparer les meilleures pratiques sur les marchés, d’établir les marges de progression avec des indicateurs précis, de mettre en oeuvre un plan d’action. Cela permet à chacun d’améliorer sa compétitivité.
Le franchiseur doit aussi faire évoluer le concept en fonction des besoins du consommateur et des nouvelles tendances.
Une autre difficulté peut venir du manque de transparence lorsque les responsabilités au niveau du réseau ne sont pas clairement définies, avec la transmission de messages divergents par exemple en provenance de différents responsables de la Centrale.
Enfin un problème majeur de fonctionnement dans certaines franchises est celui qui est engendré par la faiblesse de la communication dans le réseau. La collaboration franchiseur-franchisé doit être durable et nécessite qu’ils travaillent en bonne intelligence. Il est nécessaire qu’ils aient une même conception des objectifs et des évolutions. Les projections de croissance doivent être chiffrées et il est majeur de pouvoir visualiser les différentes étapes de cette croissance en termes qualitatifs.
D’après un article tiré de Marketing & Kommunikation
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