Les aides pour aider les entrepreneurs en puissance sont nombreuses. Elles ont chacune des règles et conditions d’obtention. Créer ou reprendre une entreprise demande de l’argent et un apport personnel minimum. Dans le cadre d’une franchise, il faut disposer d’au moins 1/3 de l’investissement pour pouvoir prétendre à s’installer. Le montant dépend évidemment du secteur d’activé ; pour ouvrir une franchise de service, l’investissement sera moins élevé que s’il s’agit d’un centre auto. Quel que soit votre projet, des aides existent et il faut en profiter en plus des prêts bancaires classiques.
Le prêt à la création d’entreprise
Le PCE est accordé sans caution personnelle ni garantie, pour toutes les entreprises en phase de création et quel que soit leur secteur d’activité
Il varie de 2 000 à 7 000 € remboursable en 5 ans. Les conditions sont les suivantes : ils financent des porteurs de projets dont l’investissement n’excède pas 45 000 euros, les entreprises qui n’ont pas de crédit bancaire égal ou supérieur à 2 ans.
Il varie de 2 000 à 7 000 € remboursable en 5 ans. Les conditions sont les suivantes : ils financent des porteurs de projets dont l’investissement n’excède pas 45 000 euros, les entreprises qui n’ont pas de crédit bancaire égal ou supérieur à 2 ans.
Le prêt à taux zéro du dispositif NACRE
Le nouvel accompagnement pour la création ou la reprise d’entreprise (NACRE) permet d’obtenir un prêt à taux zéro sans garantie. Il est plafonné à 10 000 euros et remboursable sur 5 ans maximum. Sous quels critères peut-on obtenir ce prêt ? il faut être soit demandeur d’emploi soit bénéficiaires des ASS ou RSA. Il faut aussi justifier d’investir au moins 50% dans le capital de l’entreprise et avoir souscrit et obtenu un prêt bancaire (supérieur au montant demandé et d’une durée de remboursement également supérieure).
Dans la même veine, car il s’adresse aux demandeurs d’emploi ; le prêt d’Aide à la reprise ou à la création d’entreprise (l’ARCE). C’est tout simplement la possibilité d’obtenir un capital (au lieu de prestations étalées dans le temps) de la part de Pôle Emploi correspondant à 45% de ce qui reste en droits à l’assurance chômage. La moitié est versée après l’obtention de l’ACCRE – dispositif d’encouragement à la création d’entreprise, qui consiste principalement en une exonération partielle de charges sociales et en un accompagnement pendant les premières années d’activité – le reliquat un semestre après la date de création ou reprise de l’entreprise.
Les prêts d’honneur à taux zéro
Ils ont pour objectif principal de financer les fonds propres et le besoin en fonds de roulement (BFR) : ces besoins qui font souvent défaut aux entreprises naissantes. Ils sont proposés et accordés par certains réseaux de création et reprise d’entreprise. Leur montant reste variable en fonction des réseaux et des projets ( 2 000 à 50 000 €). Il faut passer par une commission de sélection avec un dossier préalablement construit et pouvoir justifier d’ un emprunt bancaire complémentaire en place. ..
Les Crédits solidaires
Ils sont accordés par l’Adie ,ou les caisses solidaires en lien avec des prêts d’honneur à taux zéro. Ils peuvent aller jusqu’à 10 000 € remboursable en 4 ans pour le microcrédit, 5 ans pour le prêt d’honneur.
Le dispositif Créajeunes lancé par l’Adie propose un microcrédit complété par un prêt d’honneur à taux zéro et un accompagnement au début de l’activité. Pour les entreprises dites innovantes, Bpifrance accorde une subvention de 30 000 euros maximum destinée à financer les dépenses de mise au point d’un projet (conception du projet, étude de faisabilité, recherche de partenaires, etc.).
source : APCE
Le dispositif Créajeunes lancé par l’Adie propose un microcrédit complété par un prêt d’honneur à taux zéro et un accompagnement au début de l’activité. Pour les entreprises dites innovantes, Bpifrance accorde une subvention de 30 000 euros maximum destinée à financer les dépenses de mise au point d’un projet (conception du projet, étude de faisabilité, recherche de partenaires, etc.).
source : APCE