Créée par Wim Ballieu, la franchise Balls & Glory est née d’une passion, d’une vision et d’une envie : la passion du slow-food belge, la nécessité de savoir d’où vient ce que nous mangeons et l’envie de laisser libre cours à sa créativité et son esprit d’entreprise, avec un concept urbain qui garderait un lien fort avec la ferme. L’enseigne qui a ouvert des adresses à Bruxelles, Gand, Anvers, Louvain et Eindhoven ne compte pas s’arrêter là et vise 50 restaurants, dont un à New York d’ici 2025. « Nous voulons exporter le fleuron du slow food belge à l’étranger », souligne Wim Ballieu.
S’engager en franchise avec Balls & Glory
Pour ce faire, Balls & Glory recherche très spécifiquement des partenaires pour développer son réseau de franchise dans le centre d’Anvers, Malines et en région de Bruxelles. Des entrepreneurs passionnés, ayant une expérience d’au moins 3 ans dans le secteur de la restauration, partageant la vision et les valeurs du réseau. Une journée info franchise sera organisée dimanche le 11 novembre 2018 de 16:00 à 19:30 pour les candidats intéressés par le concept Balls & Glory. Ces derniers pourront découvrir le fonctionnement du réseau, avoir des réponses convaincantes autour de la création de leur entreprise et partager des réflexions à propos de leur projet autour d’une longue table remplie de stoemp et de boulettes.
Un concept innovant qui séduit les consommateurs !
Balls & Glory propose de délicieux stoemps – spécialité bruxelloise à base de carottes et de pommes de terre qui restent une heure sur le feu – et des boulettes fourrées d’une farce liquide et onctueuse, roulées à la main avant de passer au four pendant 35 minutes. Chaque jour, les clients ont le choix parmi trois boulettes de viande et une boulette végétarienne aux différentes farces : brocoli-parmesan, queue de bœuf-chocolat noir, épinards-eau de mer ou encore tikka masala, à déguster sur place ou à la maison. La plupart des établissements livrent aussi à domicile…
Wim: «Nous proposons du slow food en restauration rapide. La brasserie traditionnelle, avec monsieur aux fourneaux et madame en salle, est en voie d’extinction. Je considère qu’il est de mon devoir de pérenniser cette tradition. Nous faisons partie des rares restaurants où l’on mange du stoemp qui a été préparé une demi-heure plus tôt et qui est servi chaud, non réchauffé.»