Espace d’échange, de travail et de détente, Anticafé se positionne entre le webcafé, la maison et le café. Un concept simple et innovant imaginé par Leonid Goncharov, un jeune entrepreneur ukrainien qui a voulu lancer une autre façon de travailler en France. Anita Groff et Mélanie Münch, premières franchisées à Aix en Provence ont adhéré à cette jeune enseigne et ont ouvert leur Anticafé rue Granet, au cœur d’Aix-en-Provence, pouvant accueillir 44 personnes. Mélanie Münch nous présente le concept et les particularités de ce dernier.
Pouvez-vous décrire le concept Anticafé ?
Mélanie : « La franchise Anticafé repose sur un nouveau concept qui vous permet de prendre un café, de vous retrouver, de travailler, de partager dans un endroit convivial. Le cœur de ce concept c’est qu’on paye le temps passé. Le minimum est 1h à 5 € sauf si vous êtes membre cela sera moins cher. Une réduction de 15 % est accordée à notre communauté. ça se passe de la plus simple des manières c’est-à-dire à votre arrivée on vous donne un petit passe magnétique qui va compter le temps et au moment de partir on va regarder combien de temps vous êtes resté grâce à ce passe. »
Quelle clientèle fréquente l’Anticafé ?
Mélanie : « Nous avons une typologie de clients assez différente en fonction des jours de la semaine. En semaine, nous avons plus de coworkers et de gens qui viennent réviser et se retrouver pour faire un afterwork, donc une clientèle plus professionnelle. Le weekend on a eu plus de famille, de gens qui viennent jouer à des jeux de société, se divertir, se reposer, lire…, c’est vrai que la typologie change en fonction des jours. »
Pourquoi avoir choisi Anticafé ?
Emma cliente : « J’étais intriguée par le concept de ce café et du fait de payer à l’heure. Je voulais découvrir aussi ce qu’on pouvait manger et boire. J’étais dernièrement au Danemark et il y avait un peu le même concept de café avec des jeux de société, des livres, des œuvres d’arts exposées, une atmosphère sympathique… On prend tout ça en compte dans le prix et oui je pense que ça me revient moins cher et je profite mieux d’être ici que dans un autre café. »