Le groupe Orchestra affiche un chiffre d’affaires de 562.5 millions d’euros, soit une progression de 16.3 %. Malgré le contexte économique actuel, le groupe de puériculture et de mode enfantine réalise donc une très bonne performance lors de son exercice 2015 – 2016. L’enseigne, voulant devenir « un leader mondial de la mode enfantine, de la maternité et de la puériculture » a, par ailleurs, poursuivi ses acquisitions.
Vu dans le Journal du Textile
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Orchestra affiche une croissance autant interne qu’externe
Ayant repris un réseau Suisse comptant six points de vente de puériculture, Orchestra assure une croissance autant sur le plan interne qu’externe. Ces magasins acquis ayant de « grands formats« , l’enseigne pourra ainsi continue à déployer ses mégastores à l’international. Un marché mondial sur lequel le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 131.1 millions d’euros, face à la France (359.3 millions) et la Belgique (72.1 millions), et pour lequel Orchestra nourrit une « ambition forte« .
Aux Etats-Unis, le groupe qui détient déjà 14 % du capital de Destination Maternity, continue à « évaluer l’opportunité » pour racheter ce leader américain du vêtement de maternité.
Ce rachat lui permettra, d’une part, de compléter les domaines exploités par le groupe (vêtements pour futures mamans) et de peser près de 1 milliard d’euros, d’autre part. Cependant, la requête, qui avait été formulée une première fois à l’automne, n’a pas abouti.
Le groupe Orchestra s’est fixé pour objectif de dépasser le cap du milliard d’euros en 2019. L’enseigne devra donc atteindre « une progression annuelle moyenne de 15 % pendant les quatre années à venir« . Pour ce faire, Orchestra pourra compter sur la montée en puissance de la puériculture et donc l’augmentation du nombre de ses points de vente.
Le parc s’est ainsi établi à 553 magasins (+ 23) au terme de l’exercice clos le 29 février. Il se répartit à une quasi-égalité entre les 297 succursales (293.9 millions d’€, + 20.9 %) et les 256 commissions-affiliations (243.9 millions, +12.9 %).
Le solde provenant de l’activité Internet, qui a gagné 7 %, à 16.9 millions d’€, confirmant son statut « de premier magasin du groupe« , et de la rubrique négoce & divers, en baisse, à 7.8 millions d’€.
Aux Etats-Unis, le groupe qui détient déjà 14 % du capital de Destination Maternity, continue à « évaluer l’opportunité » pour racheter ce leader américain du vêtement de maternité.
Ce rachat lui permettra, d’une part, de compléter les domaines exploités par le groupe (vêtements pour futures mamans) et de peser près de 1 milliard d’euros, d’autre part. Cependant, la requête, qui avait été formulée une première fois à l’automne, n’a pas abouti.
Le groupe Orchestra s’est fixé pour objectif de dépasser le cap du milliard d’euros en 2019. L’enseigne devra donc atteindre « une progression annuelle moyenne de 15 % pendant les quatre années à venir« . Pour ce faire, Orchestra pourra compter sur la montée en puissance de la puériculture et donc l’augmentation du nombre de ses points de vente.
Le parc s’est ainsi établi à 553 magasins (+ 23) au terme de l’exercice clos le 29 février. Il se répartit à une quasi-égalité entre les 297 succursales (293.9 millions d’€, + 20.9 %) et les 256 commissions-affiliations (243.9 millions, +12.9 %).
Le solde provenant de l’activité Internet, qui a gagné 7 %, à 16.9 millions d’€, confirmant son statut « de premier magasin du groupe« , et de la rubrique négoce & divers, en baisse, à 7.8 millions d’€.
Régime de croisière
Les premiers magasins grand format (plus de 800 m²) mis en place par Orchestra sont sur la bonne voie. Au nombre de 93, ils ont réalisé un CA de 142.2 millions d’euros, ce qui équivaut à une progression de 83.7 % et constitue un quart de l’activité totale du groupe.
Ces magasins, qui ont été mis en place depuis 2013 et représentent l’élément premier de la stratégie du groupe, lui offrent donc des résultats des plus encourageants!
« Le groupe dispose encore de gisements de croissance importants sur ses marchés afin de mettre en oeuvre sa stratégie de développement de magasins de grand format« , et souhaite en ouvrir de « 15 à 20 par an« .
Installés en périphérie, appelés mixtes ou mégastores, selon leur taille, allant de 800 à plus de 5 000 m², ces grands formats offrent en une unité de lieu toute l’offre de l’univers de l’enfant: vêtements, maternité-puériculture et parfois jouets, grâce à un partenariat avec King Jouet.
Les autres magasins dits textiles allant de 300 à 500 m², quant à eux, gagnent également du terrain, mais pas du tout dans les mêmes proportions (+ 1.7 %). Avec un chiffre de 383.1 millions d’€, c’est tout de même eux qui assurent la majeure partie de l’activité du groupe, soit 73.2%.
Cette part va être amenée cependant à évoluer au gré de l’optimisation du parc: l’ouverture de mégastores d’une part et la fermeture de petites unités proches, d’autre part.
Enfin, les unités restantes seront rénovées. D’ailleurs, sur l’enveloppe de 35 à 40 millions d’€ qu’Orchestra prévoit d’utiliser pour la croissance maîtrisée de son parc, un tiers sera consacré aux rénovations. Mis à part le fait de « maintenir un parc de magasins rénovés et attrayants« , Orchestra a pour objectif pour cette année 2016, de continuer à quadriller ses territoires.
Orchestra veut également élargir son offre. L’enseigne a déjà lancé des couches Prémaman et compte proposer des produits d’alimentation infantile. Par ailleurs, Orchestra a pour ambition d’augmenter « la part des marques propres en puériculture« .
Actuellement de 30 %, elle devrait atteindre 50 % à l’horizon 2018, « afin d’asseoir l’exclusivité des gammes et d’accroître la rentabilité« .
Ces magasins, qui ont été mis en place depuis 2013 et représentent l’élément premier de la stratégie du groupe, lui offrent donc des résultats des plus encourageants!
« Le groupe dispose encore de gisements de croissance importants sur ses marchés afin de mettre en oeuvre sa stratégie de développement de magasins de grand format« , et souhaite en ouvrir de « 15 à 20 par an« .
Installés en périphérie, appelés mixtes ou mégastores, selon leur taille, allant de 800 à plus de 5 000 m², ces grands formats offrent en une unité de lieu toute l’offre de l’univers de l’enfant: vêtements, maternité-puériculture et parfois jouets, grâce à un partenariat avec King Jouet.
Les autres magasins dits textiles allant de 300 à 500 m², quant à eux, gagnent également du terrain, mais pas du tout dans les mêmes proportions (+ 1.7 %). Avec un chiffre de 383.1 millions d’€, c’est tout de même eux qui assurent la majeure partie de l’activité du groupe, soit 73.2%.
Cette part va être amenée cependant à évoluer au gré de l’optimisation du parc: l’ouverture de mégastores d’une part et la fermeture de petites unités proches, d’autre part.
Enfin, les unités restantes seront rénovées. D’ailleurs, sur l’enveloppe de 35 à 40 millions d’€ qu’Orchestra prévoit d’utiliser pour la croissance maîtrisée de son parc, un tiers sera consacré aux rénovations. Mis à part le fait de « maintenir un parc de magasins rénovés et attrayants« , Orchestra a pour objectif pour cette année 2016, de continuer à quadriller ses territoires.
Orchestra veut également élargir son offre. L’enseigne a déjà lancé des couches Prémaman et compte proposer des produits d’alimentation infantile. Par ailleurs, Orchestra a pour ambition d’augmenter « la part des marques propres en puériculture« .
Actuellement de 30 %, elle devrait atteindre 50 % à l’horizon 2018, « afin d’asseoir l’exclusivité des gammes et d’accroître la rentabilité« .