Il est possible que le principal inconvénient pour le franchiseur réside dans la soif d’indépendance de certains franchisés, surtout si le projet du franchiseur manque d’incitations efficaces à la fidélisation.
La marque peut aussi souffrir d’agissements et d’erreurs de mauvais franchisés. Cela ne peut être évité par le biais d’un processus de sélection et de formation des candidats franchisés et d’un système efficace de contrôle périodique du réseau.
Il sera bien entendu plus difficile d’imposer des conduites précises à un franchisé qu’à une personne employée dans un système de succursale.
Une autre contrainte est de devoir partager les profits du concept avec le franchisé mais n’est-ce pas logique puisque les les besoins financiers aussi sont partagés, le franchiseur n’ayant pas à investir dans l’affaire du franchisé alors qu’il devrait le faire dans une succursale.
Jean Samper