Point de vue du franchisé ou de l’adhérent :
AC Franchise : Depuis combien de temps êtes-vous franchisé Orchestra et que faisiez-vous avant d’intégrer le réseau ?
Joseph Inglese : « Nous sommes, mon épouse et moi, franchisés depuis septembre 2003 mais nous étions déjà dans le textile enfant avant. Depuis Mars 2000, nous avons notre magasin. Nous étions complètement indépendants, nous avions notre propre enseigne mais nous ne vendions que des produits Orchestra sans pour autant être franchisés ».
ACF : Pour quelles raisons avoir choisi le réseau Orchestra ?
JI : « Nous avons découvert la franchise Orchestra au salon de l’enfant, nous avons aimé la gamme de produits et le rapport qualité/prix et nous avons décidé ainsi de commercialiser les produits de la marque. Lorsque Orchestra s’est lancée dans la chaussure, nous avons été intéressés et nous avons décidé de reprendre le local juste à côté de notre magasin et ainsi l’agrandir. C’est en même temps que le franchiseur nous a sollicité pour devenir franchisé. Pour nous l’avantage de passer en franchise est que le contrat prévoit la reprise de stock, ce qui est très important ».
ACF : Quelle est la principale difficulté que vous avez rencontré en ouvrant votre magasin Orchestra ? Comment vous a aidé le réseau ?
JI : « Le plus difficile a été de respecter les délais pour ré-ouvrir le magasin : la décision de faire les travaux s’est prise en juin/juillet et il a fallu réagir très vite, alors qu’on était en période de congés d’été. Le franchiseur est alors intervenu pour chiffrer le montant des travaux, pour coordonner les différents corps de métier, pour faire l’agencement du magasin Par ailleurs, le réseau nous a beaucoup aidés pour notre dossier de financement et aussi pour satisfaire le paiement des artisans qui ont fait les travaux. Le franchiseur a fait le relais pendant 2/3 mois, cela nous a beaucoup aidé et cela a été possible grâce à la confiance qui s’est installée entre nous ».
ACF : Comment se porte votre activité aujourd’hui ?
JI : « Notre activité se porte très bien, nous connaissons une très forte évolution surtout depuis que nous sommes franchisés et que nous avons agrandi notre local. Sur l’année 2006, nous avons connu une progression de 20% par rapport à l’année dernière. Nous avons commencé notre activité à 2 et aujourd’hui nous sommes 3 personnes à temps plein et une personne à mi-temps, ce qui nous permet de nous absenter un peu plus du magasin.
Par ailleurs, le réseau Orchestra est en pleine évolution et nous bénéficions des améliorations et des nouveautés apportées par le réseau, comme par exemple les logiciels informatiques pour le suivi des ventes et l’établissement de statistiques ou alors la mise en place du système de réassort par taille et couleur, ce qui permet de minimiser notre stock ».
ACF : Quel est le principal conseil que vous donneriez à quelqu’un qui veut devenir franchisé dans votre métier ?
JI : « Le conseil de base est vraiment de faire une étude très sérieuse au niveau de la rentabilité de l’entreprise. Notamment quand on choisit de s’installer soit en périphérie ou soit en centre ville car les loyers ne sont pas les mêmes et il faut étudier la rentabilité des 2 projets.
A ce sujet, M. Estival, le responsable du développement de l’enseigne, est de très bons conseils, car il a une vision très juste concernant les choix des emplacements. On n’est pas dans une marque qui a besoin de survivre et donc d’ouvrir des magasins à tout prix et n’importe où mais au contraire dans une enseigne en plein développement qui prend son temps dans le process d’ouverture d’un magasin avec un nouveau franchisé ».
ACF : En conclusion, êtes-vous satisfait d’être franchisé Orchestra ?
JI : « Oui tout à fait car je suis persuadé que nous avons le bon produit. La franchise Orchestra travaille beaucoup sur le style, et le résultat est je trouve un beau produit, d’un bon rapport qualité prix, qui correspond aux attentes du client. De plus, Orchestra propose un système de carte de fidélité et cet outil est très porteur pour fidéliser notre clientèle car il offre 10% de remise en continu. Le franchiseur sait saisir les opportunités pour faire évoluer le chiffre d’affaires des magasins, que ce soit par cette carte de fidélité que par le développement d’outils via Internet.
Par ailleurs, le contrat pour le franchisé est très bien ficelé : le système de reprise de stock nous permet d’avoir un fonds de roulement beaucoup plus satisfaisant que lorsqu’on est indépendant et de ce fait, nous pouvons nous développer et avoir une bonne croissance de notre activité ».